Vichy…on le reexamine…je suis né quelques annees apres le fin de la Deuxieme Guerre Mondiale. Comme beaucoup des Americains – surtout les Americains qui ont suivi les cours de francais – je suis fascine par l’histoire de le France pendant cette époque tellement complexe.

Vichy…on le reexamine vis a vis les liens historique Franco-Americain

Les images bien connus de l’Armistice – les photos des chemins francais congestes des refugees et ceux-la egalement pitoyables des legions Allemands marchant au dessous de l’Arche de Triomphe y compris – etaient devenues les images iconiques pour nous en Amerique.

Comme tous les ecoliers Americains alors je savais que la France et les Etats Unis ont toujours eu un rapport tres special. L’aide decisif rendu aux colons Americains pendant la Guerre d’Independence contre l’Angleterre et la collaboration des deux pays dans les dernier parti de la guerre 14-18 etaient donc l’epreuve positif de cet lien tellement fort.

Avec le passage des annees, je m’interessais de plus en plus a cette tranche d’histoire. Le papier de recherche au sujet de l’Action Francaise pour un cours d’histoire Europeenne de la vingtieme siècle, comme mon arrivée a Paris quelques semaines après les Evenements du Mai (1968) n’a fait qu’intensifier mon interet a l’histoire de la France pendant l’epoque industrelle.

Vichy et la collaboration en France

Posté le 12 décembre 2012 par Philippe Degouy:
Un introduction au dernier ouvrage de l’historien français Jean-Pierre Azéma:
”Vichy et la collaboration en France : tel est le thème central du dernier ouvrage de l’historien français Jean-Pierre Azéma, paru aux éditions André Versaille. Jusqu’à ce jour, nombreux sont ceux qui se posent la question comment la France, patrie des droits de l’homme, a pu tomber aussi bas dans les mois qui ont suivi la débâcle de mai et juin 1940. La collaboration est devenue en France un véritable enjeu mémoriel.”

Jean-Pierre Azéma ne souhaite pour sa part ni excuser ni dénoncer : il cherche simplement à comprendre, avec le souci constant d’éclairer les ambivalences des choix, des attitudes, des opinions et des mémoires. Car entre pétainistes, maréchalistes, collaborationnistes et vichyssois, il y a des nuances qui ne sont pas minces. Sans pour autant tomber dans le cliché qui avait cours après-guerre et qui posait qu’il y avait deux Vichy : le Vichy de Pétain et le Vichy de Laval. En tout état de cause, Vichy est un phénomène propre à la France, qui rend difficile la comparaison avec les autres pays occupés.

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